« La roue tourne encore » titre le dernier chapitre de cette oeuvre incroyable, une chute rocambolesque, aussi surprenante qu'inattendue vous récompense d'avoir avalé page après page chaque instant de cette histoire. Ca vous étonne que je commence mon commentaire par la fin de cette trilogie ! C'est parce qu'elle est énorme.
De « Danger public » à « Délivre moi du mal » la plume de Mathieu s'est aiguisée.
Dans son dernier roman, l'histoire démarre très vite, les événements s'enchaînent et vous bousculent... impossible de reposer le bouquin pour en continuer la lecture plus tard. Vous êtes « scotchés » là, au fond de votre canapé, impatient de connaître le dénouement à chaque retournement de situation. Une fois la dernière page tournée, vous réalisez qu'il est inutile d'aller vous couchez, il est déjà temps de retourner travailler. Un conseil, profitez d'un dimanche matin tranquille pour commencer à le lire.
A lire absolument dans l'ordre de parution et sans modération.... « La roue tourne encore » n'est pas une fin, c'est un « orgasme littéraire »
Jacinte